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Que dire pour (bien) confronter votre patron ?
Mélissa Pelletier
9 mars 2018
Gestion de carrière
4 minutes à lire
958
Alors, vous devez confronter votre patron ? Avez-vous les paumes moites juste à y penser ?
Vous n’êtes pas seul. Discuter de votre condition avec votre supérieur - idéalement, d’une manière qui ne vous fait pas paraître agressif - peut être assez risqué. Vos bases sont déjà assurées. Vous savez que vous devez contre-vérifier vos faits et essayer de régler vous-même le problème avant d’oser en parler avec votre patron et risquer d’endommager votre relation.
Maintenant, vous devez savoir ce que vous voulez dire exactement. Heureusement, la journaliste Kat Boogaard est là pour vous aider. Voici trois scénarios qui peuvent survenir - et les manières pour permettre à la conversation de se dérouler convenablement à découvrir dans cet article publié sur The Muse.
Ah!, cet étrange moment quand vous réalisez que vous avez raison et que votre patron a complètement tort. Peut-être que votre gestionnaire ne cesse de citer de mauvaises statistiques, ou s’obstine en pensant que sa manière d’aborder tel ou tel projet est la meilleure. Mais vous ? Vous êtes profondément en désaccord. Vous êtes certain d’avoir raison. Vous avez vraiment envie de lui faire voir votre point de vue, sans avoir l’air condescendant ou arrogant.
« Je pensais la même chose, mais… »
Une des meilleures manières d’avancer votre point sans heurter l’égo de votre patron ? En vous mettant dans le même panier. Ce genre de phrase démontre de la sympathie en indiquant que vous aviez la même manière de penser, mais que vous êtes finalement allé vers un autre chemin en découvrant une information importante - que vous devez partager à ce moment. Même si c’est un petit mensonge blanc, c’est une bonne manière de lui indiquer son horaire sans avoir l’air arrogant.
« Je peux vous montrer où j’ai été chercher cette réponse. »
Si vous avez les faits de votre côté, il n’y a rien de mal à ouvrir les yeux de votre superviseur. Quand vous croyez fermement avoir la bonne réponse, guidez votre patron vers ce qui vous a mené vers conclusion. Ce sera difficile de nier un fait solide.
Vous avez beaucoup trop de travail dans votre assiette. C’est le moment de partager cette réalité avec votre patron, pour qu’il puisse adapter le tout. Par contre, vous avez peur que cet échange vous fasse paraître paresseux. N’ayez crainte : c’est exactement pourquoi ces deux phrases sont si utiles.
« J’essaie de prioriser mes tâches. »
Vous voulez mettre au clair que vous ne voulez pas ne plus avoir de responsabilités. Vous voulez plutôt avoir assez de temps et d’énergie pour les tâches que votre supérieur juge primordiales.
C’est une excellente phrase qui va en ce sens, et qui peut vous aider à avoir une liste de tâches beaucoup plus logique.
« Parce que (ce projet) me demande beaucoup de temps et d’attention. »
Si vous vous inquiétez d’avoir l’air d’un bon à rien, dirigez l’attention de votre patron vers un projet qui lui tient à coeur. Quand c’est un projet plus majeur qui demande la majorité de vos ressources, n’hésitez pas à l’indiquer à votre supérieur. Il pourra alors vous donner des tâches moins urgentes, ou carrément les confier à un autre collègue.
Une date de tombée vogue au-dessus de votre tête. Le seul problème ? Vous êtes pris en attendant ce qui manque du côté de votre superviseur. Agaçant, n’est-ce pas ? Avoir besoin de gérer le travail de votre superviseur peut être très délicat. Vous avez plutôt besoin que votre patron assure. Mais, vous n’avez pas non plus envie d’avoir l’air de lui dire quoi faire.
« Je sais que vous en avez beaucoup à gérer en ce moment. »
C’est une des meilleures manières d’aborder le sujet, tout en reconnaissant le travail de votre patron. Après avoir pris compte de ses responsabilités, vous pouvez demander quand vous aurez accès à ce que vous attendez. Oui, ça peut vous donner un air impatient. Mais, si vous avez peur de ne pas arriver à livrer votre travail à temps, c’est une belle manière de signaler votre inquiétude.
« Pensez-vous que je serais capable de remettre ce projet (telle date) ? »
Parce que les leaders jonglent souvent avec beaucoup de quilles en même temps, c’est facile pour eux de perdre le focus sur les priorités. Ils n’ont pas toujours conscience que leurs propres délais peuvent ralentir tout le processus.
Quand votre patron traîne vraiment de la patte, utilisez ce genre de question pour lui rappeler la date de tombée du projet - plutôt que les pièces du casse-tête.
Confronter son patron peut être très stressant. Heureusement, ces quelques phrases risquent de vous aider à le faire sans malaise !
Vous n’êtes pas seul. Discuter de votre condition avec votre supérieur - idéalement, d’une manière qui ne vous fait pas paraître agressif - peut être assez risqué. Vos bases sont déjà assurées. Vous savez que vous devez contre-vérifier vos faits et essayer de régler vous-même le problème avant d’oser en parler avec votre patron et risquer d’endommager votre relation.
Maintenant, vous devez savoir ce que vous voulez dire exactement. Heureusement, la journaliste Kat Boogaard est là pour vous aider. Voici trois scénarios qui peuvent survenir - et les manières pour permettre à la conversation de se dérouler convenablement à découvrir dans cet article publié sur The Muse.
1. Vous savez que vous avez raison (et que votre patron a tort)
Ah!, cet étrange moment quand vous réalisez que vous avez raison et que votre patron a complètement tort. Peut-être que votre gestionnaire ne cesse de citer de mauvaises statistiques, ou s’obstine en pensant que sa manière d’aborder tel ou tel projet est la meilleure. Mais vous ? Vous êtes profondément en désaccord. Vous êtes certain d’avoir raison. Vous avez vraiment envie de lui faire voir votre point de vue, sans avoir l’air condescendant ou arrogant.
« Je pensais la même chose, mais… »
Une des meilleures manières d’avancer votre point sans heurter l’égo de votre patron ? En vous mettant dans le même panier. Ce genre de phrase démontre de la sympathie en indiquant que vous aviez la même manière de penser, mais que vous êtes finalement allé vers un autre chemin en découvrant une information importante - que vous devez partager à ce moment. Même si c’est un petit mensonge blanc, c’est une bonne manière de lui indiquer son horaire sans avoir l’air arrogant.
« Je peux vous montrer où j’ai été chercher cette réponse. »
Si vous avez les faits de votre côté, il n’y a rien de mal à ouvrir les yeux de votre superviseur. Quand vous croyez fermement avoir la bonne réponse, guidez votre patron vers ce qui vous a mené vers conclusion. Ce sera difficile de nier un fait solide.
2. Quand vous avez une trop grosse charge de travail
Vous avez beaucoup trop de travail dans votre assiette. C’est le moment de partager cette réalité avec votre patron, pour qu’il puisse adapter le tout. Par contre, vous avez peur que cet échange vous fasse paraître paresseux. N’ayez crainte : c’est exactement pourquoi ces deux phrases sont si utiles.
« J’essaie de prioriser mes tâches. »
Vous voulez mettre au clair que vous ne voulez pas ne plus avoir de responsabilités. Vous voulez plutôt avoir assez de temps et d’énergie pour les tâches que votre supérieur juge primordiales.
C’est une excellente phrase qui va en ce sens, et qui peut vous aider à avoir une liste de tâches beaucoup plus logique.
« Parce que (ce projet) me demande beaucoup de temps et d’attention. »
Si vous vous inquiétez d’avoir l’air d’un bon à rien, dirigez l’attention de votre patron vers un projet qui lui tient à coeur. Quand c’est un projet plus majeur qui demande la majorité de vos ressources, n’hésitez pas à l’indiquer à votre supérieur. Il pourra alors vous donner des tâches moins urgentes, ou carrément les confier à un autre collègue.
3. Quand votre patron tarde à vous donner ce dont vous avez besoin
Une date de tombée vogue au-dessus de votre tête. Le seul problème ? Vous êtes pris en attendant ce qui manque du côté de votre superviseur. Agaçant, n’est-ce pas ? Avoir besoin de gérer le travail de votre superviseur peut être très délicat. Vous avez plutôt besoin que votre patron assure. Mais, vous n’avez pas non plus envie d’avoir l’air de lui dire quoi faire.
« Je sais que vous en avez beaucoup à gérer en ce moment. »
C’est une des meilleures manières d’aborder le sujet, tout en reconnaissant le travail de votre patron. Après avoir pris compte de ses responsabilités, vous pouvez demander quand vous aurez accès à ce que vous attendez. Oui, ça peut vous donner un air impatient. Mais, si vous avez peur de ne pas arriver à livrer votre travail à temps, c’est une belle manière de signaler votre inquiétude.
« Pensez-vous que je serais capable de remettre ce projet (telle date) ? »
Parce que les leaders jonglent souvent avec beaucoup de quilles en même temps, c’est facile pour eux de perdre le focus sur les priorités. Ils n’ont pas toujours conscience que leurs propres délais peuvent ralentir tout le processus.
Quand votre patron traîne vraiment de la patte, utilisez ce genre de question pour lui rappeler la date de tombée du projet - plutôt que les pièces du casse-tête.
Confronter son patron peut être très stressant. Heureusement, ces quelques phrases risquent de vous aider à le faire sans malaise !
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