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Gala du rayonnement de l’UdeS : une ingénieure parmi les lauréats
Alexis Vailles
3 mai 2019
Histoires à succès
2 minutes à lire
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Mis à jour le 3 mai 2019
Cette ingénieure au parcours inspirant a été honorée par son ancienne université, couronnant une carrière fructueuse et remplie de succès.
L’Université de Sherbrooke a décerné hier le titre d’Ambassadrice et d’Ambassadeur à huit de ses anciens étudiants dans le cadre du 22e Gala du rayonnement de l’établissement.
Des lauréats issus de plusieurs facultés étaient ainsi récompensés, notamment Jean-René Dufort (faculté de sciences), le célèbre animateur de l’émission Infoman.
Pour la faculté de génie, c’est la bachelière en génie civil Sandra Martel qui s’est vue honorée par son ancienne université.
Depuis l’obtention de son diplôme en 1994, Mme Martel a enchaîné divers postes de gestions pendant plus de vingt ans. D’abord directrice en processus chez Bell Canada de 1997 à 2006, elle se place ensuite aux Ponts Jacques Cartier et Champlain Incorporés (PJCCI), où elle travaille depuis.
En près de 13 ans en poste à la PJCCI, elle n’a cessé de monter les échelons. D’abord chargée de projet, elle devient ensuite directrice de la planification, puis directrice principale de la planification et des TI, puis cheffe de l’exploitation, puis directrice principale en gestion d’actifs.
Depuis octobre dernier, elle y occupe désormais par intérim le poste de première dirigeante, faisant d’elle la première femme à cette position. C’est donc elle, la gestionnaire en charge du nouveau pont Champlain!
Sandra Martel est parvenue à se démarquer en tant que femme dans deux domaines où les femmes sont sous-représentées : le génie et la gestion. Elle n’est d’ailleurs que la 3e femme à être nommée ambassadrice de l’UdeS pour la faculté de génie.
Trois étudiantes en génie civil de l’UdeS, Zohra Alaoui, Claudine Sévigny-Vallières et Rocio Lilen Segura l’ont rencontrée la semaine dernière afin d’en apprendre davantage sur son parcours.
« Je crois à la personne qui fait ce qu’elle aime faire », confie-t-elle aux trois étudiantes lorsque questionnée sur la place des femmes en génie. Selon elle, ses accomplissements et ses réalisations devraient « servir de modèle, pour les gars comme pour les filles ».
L’Université de Sherbrooke a décerné hier le titre d’Ambassadrice et d’Ambassadeur à huit de ses anciens étudiants dans le cadre du 22e Gala du rayonnement de l’établissement.
Des lauréats issus de plusieurs facultés étaient ainsi récompensés, notamment Jean-René Dufort (faculté de sciences), le célèbre animateur de l’émission Infoman.
Pour la faculté de génie, c’est la bachelière en génie civil Sandra Martel qui s’est vue honorée par son ancienne université.
Une gestionnaire d’expérience
Depuis l’obtention de son diplôme en 1994, Mme Martel a enchaîné divers postes de gestions pendant plus de vingt ans. D’abord directrice en processus chez Bell Canada de 1997 à 2006, elle se place ensuite aux Ponts Jacques Cartier et Champlain Incorporés (PJCCI), où elle travaille depuis.
En près de 13 ans en poste à la PJCCI, elle n’a cessé de monter les échelons. D’abord chargée de projet, elle devient ensuite directrice de la planification, puis directrice principale de la planification et des TI, puis cheffe de l’exploitation, puis directrice principale en gestion d’actifs.
Depuis octobre dernier, elle y occupe désormais par intérim le poste de première dirigeante, faisant d’elle la première femme à cette position. C’est donc elle, la gestionnaire en charge du nouveau pont Champlain!
Un modèle pour les jeunes ingénieures
Sandra Martel est parvenue à se démarquer en tant que femme dans deux domaines où les femmes sont sous-représentées : le génie et la gestion. Elle n’est d’ailleurs que la 3e femme à être nommée ambassadrice de l’UdeS pour la faculté de génie.
Trois étudiantes en génie civil de l’UdeS, Zohra Alaoui, Claudine Sévigny-Vallières et Rocio Lilen Segura l’ont rencontrée la semaine dernière afin d’en apprendre davantage sur son parcours.
« Je crois à la personne qui fait ce qu’elle aime faire », confie-t-elle aux trois étudiantes lorsque questionnée sur la place des femmes en génie. Selon elle, ses accomplissements et ses réalisations devraient « servir de modèle, pour les gars comme pour les filles ».
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