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Deux nouvelles œuvres d’art sur le campus de l’ÉTS
Alexis Vailles
24 juillet 2019
Nouvelles
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L’École de technologie supérieure (ÉTS) propose des œuvres symbolisant bien le génie, pour orner ses deux nouveaux espaces verts.
Le mois dernier, l’École avait annoncé la construction de deux nouveaux parcs sur son terrain, à être ouverts d’ici le printemps 2020. Deux œuvres d’art, une pour chacun des parcs, seront également incorporées au décor.
« Ces œuvres deviendront des symboles emblématiques pour notre établissement que les étudiants, les professeurs les employés et les gens du quartier pourront s’approprier », a déclaré Cédrick Pautel, secrétaire général de l’ÉTS. C’est d’ailleurs M. Pautel qui est le responsable de la démarche d’intégration des œuvres d’art sur l’aménagement du campus.
La première œuvre, nommée Autoportraits, a été conçue par l’artiste Linda Covit. Elle sera aménagée à l’entrée Est du campus, dans le premier des deux nouveaux parcs au sud de l’ancien Planétarium Dow, maintenant devenu le Centech.
La structure triangulaire, d’une hauteur de six mètres, sera faite de miroir. Des chiffres binaires (1 et 0) seront gravés sur la sculpture, formant le code binaire qui épelle « ÉTS ».
[caption id="attachment_89312" align="aligncenter" width="550"] L’œuvre Autoportraits, de Linda Covit.[/caption]
La seconde œuvre, quant à elle, se nomme Réaction en chaîne et ornera le parc en projet entre le nouveau pavillon D et le pavillon E de l’ÉTS, à l’entrée Ouest du campus. Conçue par l’artiste Ludovic Boney, la sculpture est une chaîne d’arches rectangulaires aux couleurs multiples.
L’effet impressionniste de l’œuvre vise à évoquer la « précision des mécanismes d’ingénierie », la « rigueur de l’approche scientifique » et la « logique de séquences ». Il sera aussi possible aux étudiants de s’y asseoir.
[caption id="attachment_89311" align="aligncenter" width="720"] L’œuvre Réaction en chaîne, de Ludovic Boney.[/caption]
Avec ces deux œuvres d’art et les deux nouveaux parcs, l’ÉTS espère embellir son campus, conformément à la Politique d'intégration des arts à l'architecture et à l'environnement des bâtiments et des sites gouvernementaux et publics.
« J’ai un profond attachement pour l’art, et l’acquisition et l’intégration de ces deux œuvres monumentales sont des actions incontournables dans le développement [...] de l’ÉTS », a confié le directeur François Gagnon, sur le site de l’École.
Le directeur général a aussi révélé qu’une « politique d’acquisition d’œuvres d’art » est à venir à l’École. D’autres œuvres pourraient donc faire leur apparition sur le campus!
Le mois dernier, l’École avait annoncé la construction de deux nouveaux parcs sur son terrain, à être ouverts d’ici le printemps 2020. Deux œuvres d’art, une pour chacun des parcs, seront également incorporées au décor.
« Ces œuvres deviendront des symboles emblématiques pour notre établissement que les étudiants, les professeurs les employés et les gens du quartier pourront s’approprier », a déclaré Cédrick Pautel, secrétaire général de l’ÉTS. C’est d’ailleurs M. Pautel qui est le responsable de la démarche d’intégration des œuvres d’art sur l’aménagement du campus.
La première œuvre, nommée Autoportraits, a été conçue par l’artiste Linda Covit. Elle sera aménagée à l’entrée Est du campus, dans le premier des deux nouveaux parcs au sud de l’ancien Planétarium Dow, maintenant devenu le Centech.
La structure triangulaire, d’une hauteur de six mètres, sera faite de miroir. Des chiffres binaires (1 et 0) seront gravés sur la sculpture, formant le code binaire qui épelle « ÉTS ».
[caption id="attachment_89312" align="aligncenter" width="550"] L’œuvre Autoportraits, de Linda Covit.[/caption]
La seconde œuvre, quant à elle, se nomme Réaction en chaîne et ornera le parc en projet entre le nouveau pavillon D et le pavillon E de l’ÉTS, à l’entrée Ouest du campus. Conçue par l’artiste Ludovic Boney, la sculpture est une chaîne d’arches rectangulaires aux couleurs multiples.
L’effet impressionniste de l’œuvre vise à évoquer la « précision des mécanismes d’ingénierie », la « rigueur de l’approche scientifique » et la « logique de séquences ». Il sera aussi possible aux étudiants de s’y asseoir.
[caption id="attachment_89311" align="aligncenter" width="720"] L’œuvre Réaction en chaîne, de Ludovic Boney.[/caption]
D’autres œuvres « à venir »
Avec ces deux œuvres d’art et les deux nouveaux parcs, l’ÉTS espère embellir son campus, conformément à la Politique d'intégration des arts à l'architecture et à l'environnement des bâtiments et des sites gouvernementaux et publics.
« J’ai un profond attachement pour l’art, et l’acquisition et l’intégration de ces deux œuvres monumentales sont des actions incontournables dans le développement [...] de l’ÉTS », a confié le directeur François Gagnon, sur le site de l’École.
Le directeur général a aussi révélé qu’une « politique d’acquisition d’œuvres d’art » est à venir à l’École. D’autres œuvres pourraient donc faire leur apparition sur le campus!
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