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L’ÉTS a un nouveau directeur
Alexis Vailles
19 juin 2019
Nouvelles
3 minutes à lire
2 103
Mis à jour le 19 juin 2019
Professeur en génie électrique à l’École de technologie supérieure depuis près de 30 ans, il en devient le directeur...
M. François Gagnon est entré en poste le 10 juin dernier. Il remplace ainsi Pierre Dumouchel, qui avait quitté ses fonctions en février. Le secrétaire général de l’École, Me Cédrick Pautel, avait assuré l’intérim en attendant qu’un nouveau directeur soit nommé.
C’est le gouvernement du Québec qui a nommé M. Gagnon, lors de la réunion du Conseil des ministres du 5 juin. Son mandat sera d’une durée de cinq ans.
« Je suis honoré de prendre le relais de la direction générale de cette école », déclare-t-il par voie de communiqué.
En tant que directeur, le professeur dit vouloir accroître la notoriété de l’ÉTS, afin d’en augmenter le nombre d’étudiants, déjà en hausse depuis quelques années.
« Nous travaillerons de concert avec tous les intervenants, les partenaires et les gouvernements pour faire rayonner le travail des professeurs et des chercheurs, pour intéresser le plus grand nombre possible d’étudiants à la profession d’ingénieur, et tout particulièrement les femmes », affirme-t-il.
Quand à Me Pautel, il retrouve son ancien poste de secrétaire général.
« Je tiens à remercier M. Cédrick Pautel qui a assumé l’intérim », déclare M. Gagnon à son propos. « M. Pautel a su poursuivre les dossiers en cours avec dextérité et efficacité et laisse la direction de l’ÉTS en bonne santé ».
[caption id="attachment_81092" align="aligncenter" width="500"] Le secrétaire général de l’ÉTS, Me Cédrick Pautel, avait assuré l’intérim en attendant qu’un nouveau directeur soit nommé[/caption]
En matière d’ingénierie, François Gagnon en connaît tout un rayon. Bachelier de la Polytechnique en génie électrique, il y complète aussi son doctorat en télécommunications.
Mais c’est à l’ÉTS qu’il fera carrière à titre de professeur. Un titre qu’il occupe… depuis 1991. « Je suis profondément attaché à l’ÉTS et à toute sa communauté », confie-t-il d’ailleurs à propos de son employeur.
La recherche lui tient aussi à coeur : le nouveau directeur souhaite en faire une de ses priorités. « L’enseignement, la recherche, le milieu de vie et la gouvernance sont les premiers dossiers auxquels je m’attarderai, en visant des objectifs communs à toute notre collectivité », prévoit-il.
[caption id="attachment_87560" align="aligncenter" width="712"] Au fil de sa carrière, François Gagnon s'est démarqué pour ses nombreuses recherches en télécommunications et dans le domaine aérospatial.[/caption]
Au fil de sa carrière, il se sera lui-même démarqué pour ses nombreuses recherches en télécommunications et dans le domaine aérospatial. En tout, il aura accumulé 70 subventions et 45 contrats de recherche, représentant un montant de plus de 40 millions $.
Il aura aussi supervisé plus d’une centaine de projets de fin d’études et de finissants au baccalauréat, 70 étudiants à la maîtrise, 23 étudiants au doctorat et 15 boursiers postdoctoraux.
Et ses exploits ne passent pas inaperçus : il se voit remettre en 2008 Prix Synergie pour l'innovation du Conseil de recherches en sciences naturelles et en génie du Canada, et une médaille de l’Université du Québec dans le cadre du 50e anniversaire du réseau, en 2018. En 2004, ce même réseau de l’Université du Québec l’admet dans son cercle de l’excellence.
Pas étonnant qu’il ait été dans les bonnes grâces du gouvernement pour sa nomination!
M. François Gagnon est entré en poste le 10 juin dernier. Il remplace ainsi Pierre Dumouchel, qui avait quitté ses fonctions en février. Le secrétaire général de l’École, Me Cédrick Pautel, avait assuré l’intérim en attendant qu’un nouveau directeur soit nommé.
C’est le gouvernement du Québec qui a nommé M. Gagnon, lors de la réunion du Conseil des ministres du 5 juin. Son mandat sera d’une durée de cinq ans.
« Je suis honoré de prendre le relais de la direction générale de cette école », déclare-t-il par voie de communiqué.
En tant que directeur, le professeur dit vouloir accroître la notoriété de l’ÉTS, afin d’en augmenter le nombre d’étudiants, déjà en hausse depuis quelques années.
« Nous travaillerons de concert avec tous les intervenants, les partenaires et les gouvernements pour faire rayonner le travail des professeurs et des chercheurs, pour intéresser le plus grand nombre possible d’étudiants à la profession d’ingénieur, et tout particulièrement les femmes », affirme-t-il.
Quand à Me Pautel, il retrouve son ancien poste de secrétaire général.
« Je tiens à remercier M. Cédrick Pautel qui a assumé l’intérim », déclare M. Gagnon à son propos. « M. Pautel a su poursuivre les dossiers en cours avec dextérité et efficacité et laisse la direction de l’ÉTS en bonne santé ».
[caption id="attachment_81092" align="aligncenter" width="500"] Le secrétaire général de l’ÉTS, Me Cédrick Pautel, avait assuré l’intérim en attendant qu’un nouveau directeur soit nommé[/caption]
Un professeur chevronné
En matière d’ingénierie, François Gagnon en connaît tout un rayon. Bachelier de la Polytechnique en génie électrique, il y complète aussi son doctorat en télécommunications.
Mais c’est à l’ÉTS qu’il fera carrière à titre de professeur. Un titre qu’il occupe… depuis 1991. « Je suis profondément attaché à l’ÉTS et à toute sa communauté », confie-t-il d’ailleurs à propos de son employeur.
La recherche lui tient aussi à coeur : le nouveau directeur souhaite en faire une de ses priorités. « L’enseignement, la recherche, le milieu de vie et la gouvernance sont les premiers dossiers auxquels je m’attarderai, en visant des objectifs communs à toute notre collectivité », prévoit-il.
[caption id="attachment_87560" align="aligncenter" width="712"] Au fil de sa carrière, François Gagnon s'est démarqué pour ses nombreuses recherches en télécommunications et dans le domaine aérospatial.[/caption]
Au fil de sa carrière, il se sera lui-même démarqué pour ses nombreuses recherches en télécommunications et dans le domaine aérospatial. En tout, il aura accumulé 70 subventions et 45 contrats de recherche, représentant un montant de plus de 40 millions $.
Il aura aussi supervisé plus d’une centaine de projets de fin d’études et de finissants au baccalauréat, 70 étudiants à la maîtrise, 23 étudiants au doctorat et 15 boursiers postdoctoraux.
Et ses exploits ne passent pas inaperçus : il se voit remettre en 2008 Prix Synergie pour l'innovation du Conseil de recherches en sciences naturelles et en génie du Canada, et une médaille de l’Université du Québec dans le cadre du 50e anniversaire du réseau, en 2018. En 2004, ce même réseau de l’Université du Québec l’admet dans son cercle de l’excellence.
Pas étonnant qu’il ait été dans les bonnes grâces du gouvernement pour sa nomination!
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