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L’Ordre des ingénieurs contraint de fermer 260 enquêtes en un an
Alexis Vailles
29 mai 2019
Nouvelles
2 minutes à lire
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Mis à jour le 29 mai 2019
Avec ces nombreux dossiers fermés, l’Ordre connaît son plus faible nombre d’enquêtes actives en près de dix ans.
Plus précisément, ce sont 184 dossiers d’enquête en déontologie et 76 de corruption et collusion que l’Ordre des ingénieurs du Québec (OIQ) a fermé en 2017-2018 sans sanction envers les membres visés, selon ce que rapporte La Presse.
Les différents dossiers ont été fermés alors que l’OIQ était encore sous la tutelle du Gouvernement du Québec.
Cette baisse porte le nombre d’enquêtes actives à 258 pour 2018, le plus faible score depuis 2009.
À l’OIQ, on se défend en affirmant que ces dossiers, qui sont montés par le Bureau du syndic, ont été fermés à cause de preuves insuffisantes, ce qui serait fréquent dans des cas de corruption ou de collusion.
Il est de plus impossible pour le Bureau du syndic de sanctionner des ingénieurs québécois ayant commis des fautes professionnelles à l’étranger.
La présidente, Mme Kathy Baig, a aussi tenu à rappeler qu’il est aussi possible que ces dossiers soient rouverts, si de nouveaux éléments pouvant contribuer à l’enquête surviennent.
D’autres dossiers ont aussi été réglé par conciliation plutôt que devant un conseil de discipline.
La présidente de l’OIQ a tenu à rappeler à La Presse que 60 ingénieurs ont été sanctionnés par l’Ordre pour corruption, et 300 ont eu à verser des amendes pour financement de partis politiques.
Depuis le début de l’année 2019, cinq décisions rendues par le conseil de discipline de l’Ordre ont été rendues publiques.
Plus précisément, ce sont 184 dossiers d’enquête en déontologie et 76 de corruption et collusion que l’Ordre des ingénieurs du Québec (OIQ) a fermé en 2017-2018 sans sanction envers les membres visés, selon ce que rapporte La Presse.
Les différents dossiers ont été fermés alors que l’OIQ était encore sous la tutelle du Gouvernement du Québec.
Cette baisse porte le nombre d’enquêtes actives à 258 pour 2018, le plus faible score depuis 2009.
Des enquêtes sans résultats
À l’OIQ, on se défend en affirmant que ces dossiers, qui sont montés par le Bureau du syndic, ont été fermés à cause de preuves insuffisantes, ce qui serait fréquent dans des cas de corruption ou de collusion.
Il est de plus impossible pour le Bureau du syndic de sanctionner des ingénieurs québécois ayant commis des fautes professionnelles à l’étranger.
La présidente, Mme Kathy Baig, a aussi tenu à rappeler qu’il est aussi possible que ces dossiers soient rouverts, si de nouveaux éléments pouvant contribuer à l’enquête surviennent.
D’autres dossiers ont aussi été réglé par conciliation plutôt que devant un conseil de discipline.
La présidente de l’OIQ a tenu à rappeler à La Presse que 60 ingénieurs ont été sanctionnés par l’Ordre pour corruption, et 300 ont eu à verser des amendes pour financement de partis politiques.
Depuis le début de l’année 2019, cinq décisions rendues par le conseil de discipline de l’Ordre ont été rendues publiques.
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