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Un autre ingénieur poursuit Google après être renvoyé
Alexis Vailles
23 février 2018
Nouvelles
2 minutes à lire
957
Après la saga James Damore, renvoyé pour avoir tenu des propos misogynes sur le web, c’est au tour d’un autre ingénieur de poursuivre le géant de l’internet pour son licenciement…
Si James Damore avait été renvoyé pour avoir tenu des propos anti-diversité, l’ingénieur Tim Chevalier, lui, a été renvoyé pour avoir fait le contraire !
Selon l’Economic Times, M. Chevalier, ingénieur en développement logiciel spécialisé en fiabilité des pages web et basé à San Francisco, a été mis à la porte pour avoir critiqué Google sur les réseaux sociaux à propos de sa politique de diversité, jugeant que l’entreprise n’était pas assez inclusive.
Tim Chevalier avait écrit ce billet en réponse à celui de l’ingénieur James Damore, qui affirmait que la faible présence de femmes en génie s’expliquait de par une infériorité « biologique ».
Chevalier est en position particulière pour critiquer son ancien employeur sur sa politique de diversité, étant lui-même issu de plusieurs minorités : l’ingénieur est transsexuel, queer et handicapé. Il prétend que Google n’a pas su protéger ses employés femmes, issus de la communauté LGBTQ ou de minorités visibles à l’interne.
M. Chevalier a d’abord intenté une plainte contre le géant du web à la National Labor Relations Board (NLRB), l’agence fédérale américaine supervisant le droit du travail. La plainte de l’ingénieur a toutefois été rejetée, la NLRB jugeant que Google n’a pas violé la loi sur le travail de par ce licenciement.
C’est donc une poursuite que Tim Chevalier a déposé à la Cour de Californie, prétendant avoir été victime de discrimination, harcèlement, représailles et licenciement abusif.
Selon la NLRB, Google aurait toutefois renvoyé l’ingénieur pour avoir écrit dans son billet des « déclarations discriminatoires non-protégées ».
C’est donc une nouvelle saga qui s’amorce…
Si James Damore avait été renvoyé pour avoir tenu des propos anti-diversité, l’ingénieur Tim Chevalier, lui, a été renvoyé pour avoir fait le contraire !
Selon l’Economic Times, M. Chevalier, ingénieur en développement logiciel spécialisé en fiabilité des pages web et basé à San Francisco, a été mis à la porte pour avoir critiqué Google sur les réseaux sociaux à propos de sa politique de diversité, jugeant que l’entreprise n’était pas assez inclusive.
Tim Chevalier avait écrit ce billet en réponse à celui de l’ingénieur James Damore, qui affirmait que la faible présence de femmes en génie s’expliquait de par une infériorité « biologique ».
Chevalier est en position particulière pour critiquer son ancien employeur sur sa politique de diversité, étant lui-même issu de plusieurs minorités : l’ingénieur est transsexuel, queer et handicapé. Il prétend que Google n’a pas su protéger ses employés femmes, issus de la communauté LGBTQ ou de minorités visibles à l’interne.
M. Chevalier a d’abord intenté une plainte contre le géant du web à la National Labor Relations Board (NLRB), l’agence fédérale américaine supervisant le droit du travail. La plainte de l’ingénieur a toutefois été rejetée, la NLRB jugeant que Google n’a pas violé la loi sur le travail de par ce licenciement.
C’est donc une poursuite que Tim Chevalier a déposé à la Cour de Californie, prétendant avoir été victime de discrimination, harcèlement, représailles et licenciement abusif.
Selon la NLRB, Google aurait toutefois renvoyé l’ingénieur pour avoir écrit dans son billet des « déclarations discriminatoires non-protégées ».
C’est donc une nouvelle saga qui s’amorce…
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