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Une nouvelle chaire de recherche en structures à l'ÉTS
Alexis Vailles
15 février 2019
Nouvelles
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Mis à jour le 15 février 2019
L’École de technologie supérieure (ÉTS) a inauguré une nouvelle chaire de recherche en partenariat avec l’entreprise de techno Olympus…
La nouvelle chaire et son titulaire, le professeur Pierre Bélanger (photo), orienteront leurs travaux sur le contrôle non-destructif ultrasonore, une méthode d’analyse de structures et de matériau sans endommagement.
Inaugurée jeudi dernier, la chaire prévoit des travaux d’une durée de cinq ans.
Professeur à l’ÉTS depuis 2013, Pierre Bélanger a été approché pour la première fois l’année suivante après l’une de ses conférences par la multinationale japonaise Olympus.
« J’y présentais une technique novatrice pour mesurer l’épaisseur résiduelle des pipelines ayant des supports », raconte-t-il.
Cheffe de file dans la technologie de contrôle non-destructif, Olympus collabore avec M. Bélanger depuis trois ans pour divers travaux de recherche.
Fabrice Cancre, président d’Olympus Scientific Solutions Americas (OSSA), estime qu’avec ses travaux, l’ÉTS alimentera son entreprise avec des idées et des technologies nouvelles.
Ce seront ainsi diverses applications dans l’industrie du génie civil et du génie du bâtiment qui seront rendues possibles grâce aux travaux de la chaire.
Avec le contrôle non-destructif ultrasonore, il sera possible d’analyser l’état de toutes sortes de structures, comme des viaducs, des coques de bateaux, des pièces d’avions, des aqueducs, des moteurs ou des oléoducs.
La chaire a aussi comme objectif d’uniformiser et de simplifier les contrôles non-destructifs qui sont déjà en pratique dans l’industrie, surtout par ultrasons. Le développement d’outils à ultrasons pour des environnements difficiles est également au programme.
« Le but serait de lancer d’ici cinq ans un produit fondamentalement innovant issu de la recherche et développé en collaboration avec l’ÉTS », explique Fabrice Cancre.
La nouvelle chaire et son titulaire, le professeur Pierre Bélanger (photo), orienteront leurs travaux sur le contrôle non-destructif ultrasonore, une méthode d’analyse de structures et de matériau sans endommagement.
Inaugurée jeudi dernier, la chaire prévoit des travaux d’une durée de cinq ans.
En projet depuis 2014
Professeur à l’ÉTS depuis 2013, Pierre Bélanger a été approché pour la première fois l’année suivante après l’une de ses conférences par la multinationale japonaise Olympus.
« J’y présentais une technique novatrice pour mesurer l’épaisseur résiduelle des pipelines ayant des supports », raconte-t-il.
Cheffe de file dans la technologie de contrôle non-destructif, Olympus collabore avec M. Bélanger depuis trois ans pour divers travaux de recherche.
Fabrice Cancre, président d’Olympus Scientific Solutions Americas (OSSA), estime qu’avec ses travaux, l’ÉTS alimentera son entreprise avec des idées et des technologies nouvelles.
Diverses applications
Ce seront ainsi diverses applications dans l’industrie du génie civil et du génie du bâtiment qui seront rendues possibles grâce aux travaux de la chaire.
Avec le contrôle non-destructif ultrasonore, il sera possible d’analyser l’état de toutes sortes de structures, comme des viaducs, des coques de bateaux, des pièces d’avions, des aqueducs, des moteurs ou des oléoducs.
La chaire a aussi comme objectif d’uniformiser et de simplifier les contrôles non-destructifs qui sont déjà en pratique dans l’industrie, surtout par ultrasons. Le développement d’outils à ultrasons pour des environnements difficiles est également au programme.
« Le but serait de lancer d’ici cinq ans un produit fondamentalement innovant issu de la recherche et développé en collaboration avec l’ÉTS », explique Fabrice Cancre.
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