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Valérie Lamenta, ingénieure… et joueuse de hockey professionnelle !
Vincent Orellana-pepin
15 juillet 2021
Histoires à succès
3 minutes à lire
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Mis à jour le 19 juillet 2021
Chaque semaine, découvrez des ingénieur·e·s québécois·es qui se démarquent ! Voici Valérie Lamenta, une jeune femme aussi déterminée sur la glace qu’au sein d’un laboratoire.
Valérie Lamenta a toujours aimé l’école et les mathématiques, et elle a toujours été passionnée par le hockey. Alors, plutôt que de choisir une de ces deux vocations, seulement, elle a complété son baccalauréat en génie mécanique à l’Université de Guelph, et bénéficié d’une bourse pour jouer avec l’équipe de hockey féminin locale.
« J’ai chargé mes valises et mon équipement dans le coffre de ma Hyundai Accent bleue, et je suis partie vers l’ouest ! » raconte-t-elle.
En quittant Montréal, elle laissait ce faisant derrière elle ses amis, sa famille et une routine qui lui avait permis d’accéder aux plus hauts niveaux de son sport.
Photo Courtoisie
Entre ses études en génie et la rigueur de son programme d’entrainement au hockey, pendant quatre ans les moments libres ont été rares pour Valérie Lamenta. Même en dehors des périodes scolaires, elle trouvait le temps de s’occuper. En 2017, elle a par exemple fièrement porté les couleurs de l’unifolié au Kazakhstan lors des jeux universitaires d’hiver.
« Plus j’étais occupée, plus ça me gardait disciplinée, et plus ça me forçait à respecter un horaire très strict », affirme Valérie. Elle n’aurait pas été capable de passer à travers ses années universitaires autrement. Cette expérience lui a aussi permis d’apprendre à se connaître, à découvrir que l’inconnu n’est pas toujours une mauvaise chose et à s’entourer d’une nouvelle famille de cœur.
« Quand je suis partie de Montréal, je m’en allais vers un endroit où je ne connaissais personne. Mais à Guelph, j’ai trouvé bien plus que juste une école et une équipe. Je me suis trouvé une famille de 25 filles », raconte-t-elle.
Le support de ce groupe d’amies lui a permis de naviguer par temps calme comme par temps agité. Elle a appris à gérer son temps et les attentes des autres. « Avec du recul, je pense que ce sont mes plus grandes forces, ma capacité organisationnelle et celle de recevoir des critiques », déclare-t-elle.
Après avoir décroché son baccalauréat en génie mécanique, Valérie Lamenta a cherché à capitaliser son talent sur la glace. Elle a donc quitté le Canada pour aller jouer professionnellement au hockey à Budapest pendant un an, avant d'entamer sa maîtrise. Au cours de cette période, elle a pu voyager et se lier d’amitié avec des gens qu’elle n’aurait jamais rencontrés autrement.
Entre Guelph et Budapest, la jeune femme a par conséquent passé près de cinq ans loin de ceux qu’elle aime le plus. « Mais ce que j’ai appris au cours cette expérience, c’est que ma famille ne me quittera jamais. Elle a constamment été dans mes pensées, m’a suivie à travers le monde », dit-elle sereinement.
Photo Courtoisie
Valérie étudie à présent pour décrocher sa maîtrise, tout en travaillant au sein du Thermal Energy Laboratory de l’Université McGill. Elle concentre son projet de recherche sur le transfert de chaleur et le stockage d’énergie. Elle apprécie beaucoup son milieu de travail, puisqu’il lui permet d’être à la fine pointe de la technologie des énergies renouvelables.
Elle souhaite dans le futur devenir une intermédiaire entre le grand public et les scientifiques Bref, constituer un lien entre des concepts extrêmement techniques et des applications quotidiennes que les personnes sans formation en génie peuvent comprendre.
Et surtout, elle veut transmettre aux gens sa vision, à savoir que chaque jour représente une opportunité d’apprendre.
Valérie Lamenta a toujours aimé l’école et les mathématiques, et elle a toujours été passionnée par le hockey. Alors, plutôt que de choisir une de ces deux vocations, seulement, elle a complété son baccalauréat en génie mécanique à l’Université de Guelph, et bénéficié d’une bourse pour jouer avec l’équipe de hockey féminin locale.
« J’ai chargé mes valises et mon équipement dans le coffre de ma Hyundai Accent bleue, et je suis partie vers l’ouest ! » raconte-t-elle.
En quittant Montréal, elle laissait ce faisant derrière elle ses amis, sa famille et une routine qui lui avait permis d’accéder aux plus hauts niveaux de son sport.
Photo Courtoisie
Trouver l’équilibre entre les études et le sport
Entre ses études en génie et la rigueur de son programme d’entrainement au hockey, pendant quatre ans les moments libres ont été rares pour Valérie Lamenta. Même en dehors des périodes scolaires, elle trouvait le temps de s’occuper. En 2017, elle a par exemple fièrement porté les couleurs de l’unifolié au Kazakhstan lors des jeux universitaires d’hiver.
« Plus j’étais occupée, plus ça me gardait disciplinée, et plus ça me forçait à respecter un horaire très strict », affirme Valérie. Elle n’aurait pas été capable de passer à travers ses années universitaires autrement. Cette expérience lui a aussi permis d’apprendre à se connaître, à découvrir que l’inconnu n’est pas toujours une mauvaise chose et à s’entourer d’une nouvelle famille de cœur.
« Quand je suis partie de Montréal, je m’en allais vers un endroit où je ne connaissais personne. Mais à Guelph, j’ai trouvé bien plus que juste une école et une équipe. Je me suis trouvé une famille de 25 filles », raconte-t-elle.
Le support de ce groupe d’amies lui a permis de naviguer par temps calme comme par temps agité. Elle a appris à gérer son temps et les attentes des autres. « Avec du recul, je pense que ce sont mes plus grandes forces, ma capacité organisationnelle et celle de recevoir des critiques », déclare-t-elle.
Repousser ses limites
Après avoir décroché son baccalauréat en génie mécanique, Valérie Lamenta a cherché à capitaliser son talent sur la glace. Elle a donc quitté le Canada pour aller jouer professionnellement au hockey à Budapest pendant un an, avant d'entamer sa maîtrise. Au cours de cette période, elle a pu voyager et se lier d’amitié avec des gens qu’elle n’aurait jamais rencontrés autrement.
Entre Guelph et Budapest, la jeune femme a par conséquent passé près de cinq ans loin de ceux qu’elle aime le plus. « Mais ce que j’ai appris au cours cette expérience, c’est que ma famille ne me quittera jamais. Elle a constamment été dans mes pensées, m’a suivie à travers le monde », dit-elle sereinement.
Photo Courtoisie
Au sommet sur la glace et en laboratoire
Valérie étudie à présent pour décrocher sa maîtrise, tout en travaillant au sein du Thermal Energy Laboratory de l’Université McGill. Elle concentre son projet de recherche sur le transfert de chaleur et le stockage d’énergie. Elle apprécie beaucoup son milieu de travail, puisqu’il lui permet d’être à la fine pointe de la technologie des énergies renouvelables.
Elle souhaite dans le futur devenir une intermédiaire entre le grand public et les scientifiques Bref, constituer un lien entre des concepts extrêmement techniques et des applications quotidiennes que les personnes sans formation en génie peuvent comprendre.
Et surtout, elle veut transmettre aux gens sa vision, à savoir que chaque jour représente une opportunité d’apprendre.
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